- Yves
Mourousi, nommé « Monsieur Moto » en
1978 et rattaché au ministère de la Jeunesse et des
Sports démissionne quelques mois plus tard lassé par
le manque de moyens et labsence totale de coopération
du ministère des Transports.
- En
désignant le motard comme principal bouc émissaire,
les élus et haut fonctionnaires de l époque
agitent lépouvantail sans froisser lélectorat
de la majorité en place. Ils ne sattendent pas à
déclencher une tourmente.
- Christian
Gérondeau, délégué à la sécurité
routière est investi de la mission irréaliste de faire
diminuer de 13000 à 10000 le nombre de victimes de la route
en un an.
- Il
profite de quelques faits divers saignants au soir du Bol dor
1978 pour se lancer dans une diatribe violemment motophobe qui met
le feu au baril de poudre.
- Les
conflits de génération saccentuent.
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« Reward Gérondeau - ennemi public n°1
du motard ! »
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